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Finding Inspiration in Every Turn
Avec la danse et mouvement-thérapie :
une meilleure santé mentale et physique.
Qu'est-ce que la danse et mouvement-thérapie?
La danse et mouvement-thérapie n'est pas une pratique récréative. Il s'agit d'une pratique intégrée dans l'art-thérapie moderne, qui utilise des pratiques d'arts en s'appuyant sur les capacités préservées de la personne sur les plans physique, mental ou social.
Elle est bénéfique pour la santé mentale et physique (OMS, 2019 ) et est accessible à tout public du moment qu'elle fait l'objet d'une adaptation éclairée de la part de l'art-thérapeute ou du psychothérapeute (formation indispensable, voir l'AFRATAPEM).
L'utilisation de différents exercices impliquent la mise en mouvement, dansé ou non, avec de la musique ou non. Même si le verbal n'est pas au centre de cette pratique, il y a toujours des temps d'échanges et de mise en mots des ressentis, des perceptions de ce qui est expérimenté. Les arts créatifs (dessin, écriture, chant, photo, musique...) permettent d'enrichir le processus d'accompagnement.
Pourquoi pourrais-je en bénéficier ?
Il ne faut pas forcément savoir danser. Le professionnel est là pour vous guider à explorer vos sensations, vos émotions à travers des exercices en mouvements tout en RESPECTANT vos limites.
La danse et mouvement-thérapie peut vous accompagner à mieux traverser une maladie ou des douleurs chroniques, un traumatisme, un manque de confiance et d'estime de soi, des difficultés d'expression, de communication et des difficultés relationnelles, dans la gestion des émotions, à aider votre enfant/adolescent en souffrance ou à l'accompagner dans son développement socio-affectif, etc.
Qui d'autres, et où ?
Dans les institutions ou structures du médico-social, les enfants atteints d'un handicap moteur, sensoriel et/ou cérébral ou d'un trouble du neuro-développement (Trouble du Spectre Autistique par exemple), les enfants/adolescents en difficultés (PJJ, ASE), des personnes atteintes d'un trouble psychiatrique, des personnes en situation de handicap physique/mental, des personnes incarcérées ou en cours de réinsertion, des personnes hospitalisées ou en situation palliative d'une maladie, des personnes en unité pédiatrique ou gériatriques, etc. peuvent tout à fait bénéficier de ce type d'approche à condition qu'elle soit bien adaptée et encadrée.